Pour leur retraite, les jeunes croient en l’épargne

Selon une récente étude, les populations jeunes sont conscientes de l’apport des produits d’épargne. Ces derniers permettent la réalisation de nombreux projets tout en se prémunissant en cas de pépin, l’objectif étant de préparer au mieux sa retraite.

Un contexte économique de crise

Depuis le début de la crise, à savoir 2009, celle-ci ne cesse de gagner du terrain. Très récemment, le gouvernement du Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault, a mis en place une politique stricte concernant les dépenses publiques. En parallèle, dans le cadre de la loi de finance  2013, la hausse des impôts est réelle, tout comme la réduction des avantages fiscaux (auto entrepreneur, niches fiscales, etc…).

Face à un contexte économique défavorable, il n’est pas étonnant que les jeunes aient du mal à concevoir la notion de retraite à taux plein. Bon nombre d’entre eux ne se font guère d’illusions à ce sujet. A ce titre, les populations jeunes sont friandes des produits d’épargne proposés à ce jour en France.

D’une part, car au sein de l’ADN français, épargner a toujours été un sport national, et, d’autre part, car l’épargne permet de se constituer un patrimoine financier au fil des années. Potentiellement, cela pourrait compenser le manque à gagner lié à une retraite versée partiellement.

Les produits d’épargne qui s’offrent aux jeunes

Au sein de l’hexagone, les jeunes disposent de plusieurs possibilités pour épargner. Dès le plus jeune âge, ils peuvent souscrire à un livret jeune pour prendre l’habitude d’utiliser ce type de produit. Par la suite, dès l’arrivée à l’âge adulte, ils peuvent souscrire à des livrets traditionnels (Livret A, LDD, PEL, CEL, etc…) comme à des livrets d’épargne proposés par les banques en ligne.

Il est important de souligner que la jeune génération est née avec un ordinateur entre les mains, il n’est donc pas étonnant que la grande partie des clients des banques en ligne soit d’une moyenne d’âge bien moins élevée que les banques physiques.

Les avantages sont nombreux tels qu’un plafond beaucoup plus élevé (de 100 000 euros à l’illimité), des frais presque inexistants, une gestion entièrement en ligne ou encore une carte bancaire gratuite.

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  • 3 octobre 2012